Alors que le Président Denis Sassou N’Guesso l’imperturbable chef de l’État congolais au destin exceptionnel est arrivé à New-York où il prend part à la 78ème assemblée générale des Nations-Unies, les rumeurs les plus fallacieuses sont distillées sur les réseaux sociaux, sur un prétendu coup d’état qui aurait cours au Congo. Si la rumeur s’inspire des évènements survenus il y a peu au Gabon voisin, là devrait s’arrêter l’analogie, car rien de tel ne s’est produit au Congo.
Un habile montage présentant des vidéos de congolais en liesse, acclamant la chute de Denis Sassou N’Guesso, un article qui n’est que pure hérésie, présentant ledit coup d’état, ceux qui ont fait jouer leur imagination se sont trompés de pays, si ce n’est que celui-ci ne vit que dans leur imaginaire. Denis Sassou demeure à son poste, lui qui dans la vie militaire active, a été général d’Armée.
Pour les congolais qui ont contracté cette rumeur, l’étonnement a été tel qu’ils se sont vite aperçus qu’il ne s’agit ni plus ni moins, que des manœuvres des fossoyeurs de la quiétude au Congo, dont les desseins sordides visent à déstabiliser la sérénité qui règne dans le pays. Cette action serait-elle le fait des groupes de pression « snipers » ?
C’est à se demander, qui tirerait profit du climat d’instabilité qui s’y installerait, sans parler des victimes innocentes qui en résulteraient.
La paix, crédo fort de Denis Sassou N’Guesso, a été chèrement acquise par les congolais et ils entendent la préserver. Le bon sens commande que les auteurs de ces folles rumeurs de coup d’état imaginaires reviennent au bon sens.
Dans cette Afrique qui fait face aux énormes défis et enjeux, dans un monde multipolaire, nul ne peut se taper le luxe de déstabilisations chroniques, aujourd’hui internes, surtout en détruisant leurs propres bibliothèques humaines, à l’image de ces sages, ces icones qui symbolisent le ciment des Nations. Ne dit-on pas qu’en Afrique, tout vieillard qui meurt est une bibliothèque qui brule ?
Denis Sassou N’Guesso est un de ces rares chefs d’État qui est parti du pouvoir et y est revenu. Ne revient pas au pouvoir, qui veut. Il ne s’agit pas de le vouloir, encore moins de le pouvoir. C’est ce que l’auteur du livre ‘’Entre le bons sens et l’alternance absolue, l’Afrique à la croisée des chemins, Michel Innocent Peya, désigne dans son livre, page 72 par la « spiritualité du pouvoir ». Pour l’auteur, c’est une affaire de mandat et de l’élection divine.
Michel Innocent Peya explique que le pouvoir choisi ses hommes, avant même que ceux-ci n’en aient eu l’ambition. Ces hommes exceptionnels se comptent du bout des doigts. Il incombe aux Nations de les protéger, car ils incarnent la stabilité entre les peuples.
Dans son livre l’auteur assimile ces icones à la reine-mère d’une termitière. Sa déstabilisation entraine ipso facto, des conséquences incalculables pour les Nations. ‘’Entre le bons sens et l’alternance absolue, l’Afrique à la croisée des chemins de Michel Innocent Peya. Éditions l’Harmatan 2013).
Le Président Denis Sassou N’Guesso connait le pouvoir comme signification. Il connait le pouvoir comme direction, cette direction vers laquelle il conduit son peuple qui mène une vie paisible après avoir acté Denis Sassou N’Guesso comme Président, lors de la dernière présidentielle, sur la base de son projet de société : « Ensemble, poursuivons la marche ». Et c’est ensemble que les congolais sont attachés à leur Président, convaincus qu’ainsi qu’il est dit que « tout pouvoir vient de Dieu », celui de Denis Sassou N’Guesso émanation du peuple, ne saurait y déroger, car il est aussi dit, « ce que peuple veut, Dieu le veut ».
Les congolais qui ont tant souffert dans leur chair et dans leur âme des affres des conflits, n’entendent pas prêter le flan à ceux qui se délectent du sang et des larmes des autres.
Source // esechos-congobrazza.com